Poésies d'un Lorialet

Poésies d'un  Lorialet

Fluide.

Je

Me

Tus,

vu

cette ombre,

Sur Londres.

Et l’air,

Si clair,

Qui vient de loin,

Triste lointain,

De ma folie,

Dans cette vie.

Et je ne sais plus qui me suit,

Fantôme glauque et de suie.

Oh ! Mes amours décomposés,

Quand larmes se sont imposées.

Pourtant, je vous aimais, ma tendre, ma cruelle.

Oh ! Ces tristes oiseaux qui parcouraient le ciel,

Aussi ce nuage en deuil d’un triste printemps,

Tous annonçaient déjà, le début des tourments.

Mais il n’est plus moment de geindre.

De ces temps, je ne peux me plaindre.

L’âge est venu, non la raison.

Car m’affligent d’autres passions,

D’écrire et peindre.

Je ne puis feindre

De mes envies

Et de ma vie.

Pinceau,

De l’eau

Et plume

La lune,

L’air

Clair,

Vin,

Pain.



11/06/2022
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