Poésies d'un Lorialet

Poésies d'un  Lorialet

Par le souffre et le fer.

 

Emmitouflé d'espoir malgré mon inconstance,

Mes rêves, j’ai creusé et je m’y suis brulé !

Je désirais aimer, plonger dans l’inconscience.

D’un masque de ferveur, je me suis affublé,

 

Hélas, dans le chaos, je n’ai trouvé que vide

Je croyais, je croyais, en quelque humanité,

Au mythe de Rousseau, que nul ne soit avide,

Mais plongé dans l’horreur, je fus bien dépité.

 

Tant que seront pouvoirs, la haine puis la gloire,

Pour d’un mythe ou l’argent, déchirure des corps.

Des phantasmes de Dieu ou bien de territoire !

 

Ce monde est à misère et n’entraine que morts,

Pour le moindre motif, des gens partent en guerre,

le plus faible est banni, par le souffre et le fer.



17/06/2022
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