Que peu.
Dans le profond sillon de ma pauvre existence
De la pluie, un torrent, emporte mes espoirs
Tout rêve de grandeur, dans la fureur du soir,
Éphémère illusion et sinistre démence,
S’épuisent dans le temps, ossements en tombeau
Et donc, qu’espérais-tu, triste éphémère insecte ?
D’un paraitre jouant avant la mort infecte ?
Le monde courtisé, pour monter au plus haut ?
La gloire et le succès valent moins que le vivre,
Mieux vaut rire de tout, plutôt que vouloir suivre,
Les troupeaux prétentieux, maitres de quelque lieu.
Ce qui est disparait d’une éternelle fuite
Ni prestige, vertu, échec ou réussite,
Rien, jamais, nous grandit, nous ne sommes que peu.
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