Il n'est besoin que d'aimer.
Souviens-t'en des oiseaux et des ombres anciennes.
La nuit que bordent fleurs des étoiles du ciel,
Un été, un soleil, dans ce coin des Ardennes
Et ce temps suspendu qui semblait éternel.
Un parc en clair obscur et fièvre de jeunesse.
Il grimpait un rosier, près du banc des amours
Gravé de cœurs sereins en début d'allégresse
Flamboyantes unions s'aimant au gré des jours,
Sans nul autre soucis et loin des artifices,
Qui rideront après le serment oublié,
Quand les conformités lanceront maléfices.
Souviens-t'en quelquefois, ce temps des insouciances,
D'un “je t'aime” absolu riant du sablier,
Comme une île d'amour dans la mer des démences.
Retour aux articles de la catégorie LES AMOURS -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 4 autres membres