Refuge.
Un pays inconnu, au large de l’exode,
Barbelés en décor, une tente, un réchaud.
Des souvenirs brisés et puis la mort qui rôde,
Les parents, les amis, presque tous en tombeau.
J'ai si mal en ces lieux, mais chez-moi, c'est la guerre,
La famine ou le fer, mais sans le moindre espoir.
Dites-moi les raisons pour toute la misère
Et pour se retrouver dans un triste dortoir.
L’avenir calfeutré dans un centre fermé,
Qui se croit libéré, tombe en autre galère.
Quota d’êtres humains et le corps entravé.
Des papiers, des dossiers, mais la peur dans les yeux !
Savez que là-bas, tout se fait en calvaire ?
J’aimerais tant savoir ce que sont jours heureux.
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